Stacey McGrath ♠ Rebelle ♠ Messages : 407
Points RP : 53
Localisation : Planqué chez son frère Killian
Date d'inscription : 05/12/2013
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| | De la main de Stacey McGrath signé le Ven 6 Déc - 1:37 | Stacey McGrath | Race : Humain Nom : McGrath Prénoms : Stacey Âge : 18 ans Originne(s) : Londres Groupe : Humain opposant Métier / Rang : Elève de Zadist W.Keenagan Avatar : Samuel Larsen
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Description physique
T'es sympa p'tit rasta, t'es gentil, t'es mignon, Avec tes jolies dreads dans tes cheveux blonds Tes pantalons et tes chemises bariolées Que t'as acheté dans un festival artisanal népalais P'tit rasta t'es pour la paix dans l'humanité Même si t'es révolté contre la société parce que c'est vraiment pas cool la pauvreté et la guerre mon frère, faudrait l'arrêter Une petite tête brune digne du plus beau poulpe de tous les océans réunis ! Comment ça non ? Je suis comme un poiscaille dans la flotte moi. OK, plus sérieux, des petits yeux bleus océaniques, virant parfois au rouge, mais ça c’est quand je fume un peu de trop. Je porte des grandes dreads locks qui me tombent dans le dos, comme des tentacules, Poulpy c’mon surnom pas pour que dalle. J’crois pas être bien grand, ni bien pitiot, tu vois, moi j’suis un gars normal. Complètement. J’porte des vieux futals pourris, des T-shits de merde, des baskets qui sont trouées, t’façon j’m’en branle les cacahouètes j’sors jamais. J’suis pas bien gros, ça c’est à cause de la drogue que j’prends. Si, j’mange pas des masses, mais ça faut se plaindre au barge. Ouai l'barge c’est le psychopathe qui me garde, enfin garder c’est un bien grand mot. Anyways on s’en fous. Mon physique… Pffffffffff tu fais chier mec, regarde-moi et tu vois à quoi je ressemble non ? Tu veux que je te dise quoi d’autre ? J’ai quelques tatouages sur les bras tatouage, un p'tit piercing dans le nez mais super discret, niveaux fringue j’ai quoi, trois calbutes qui se bâtent en duel, j’suis toujours fringué de la même manière et j’porte tout le temps pleins de bracelets à mes poignets. On s’en fous de quoi j’ressemble, des mecs comme moi y’en a pas quinze mille dans c’te baraque. Donc t’inquiète paupiette, tu vas pas me rater à mon avis
Descriptions psychologique
Et quand tu vas voir des concerts de reggae T'aimerai bien levé ton bras quand y'a des paroles engagées qui disent « il faut légaliser la ganja » ou bien « les douaniers sont vraiment pas sympas » Sont mignons tes slogans petit rasta merci pour ta contribution au débat Mais dis moi petit rasta
qu'est-ce que tu fais pour changer tout ça ?
Mais petit rasta, les idées aussi belles que ses longs cheveux de rebelle, Mais petit rasta deviendra grand et tout aussi gland que ses parents Mais petit rasta Y’a peut-être de quoi en dire un peu plus là. Enfin je sais pas trop. Quand tu me regardes tu peux bien penser ce que tu veux moi je m’en balance royal. Qui j’suis ? Quelle importance, comme si on avait envie de le savoir ou que ça avait son intérêt ici. Franchement, tu veux le savoir ? Y’a un temps ou j’rigolais bien, on m’voyait comme le type cool, le gosse enjoué de la vie, celui qui passe son temps à raconter des conneries et à faire rire les adultes avec son sourire de connard. Ouai, j’étais comme ça dans ma jeunesse. Quand j’étais encore libre. Ca commence à remonter à loin c’temps-là. Qui je suis maintenant ? Un pauvre type qui passe sont temps à glander devant la téleuch, pétard à la bouche, binouse à la main, les pieds sur la table en priant l’bon dieu pour que je respire encore demain matin. Ouai à quelques choses près ça c’était avant quand j’avais pas vraiment d’espoir. Faut dire j’en ai pas plus tout de suite maintenant, mais au moins, je commence à me bouger. J’pense que le patron d’ces lieux c’est le premiers des connards et franchement ça changera pas. Et j’me dis qu’on a peut-être un moyen de sortir de ce trou à rats. Comment, j’en sais que dalle mais j’vais le trouver. En gros, qui j’suis, un gosse qui rêve d’une vie meilleure. Tu m’vois avec ma gueule ? J’ai franchement rien à foutre là mec. Alors j’fais comme je peux. Et comment ? Avec mon sourire de connard, celui que j’avais quand j’étais encore qu’un gosse. Faut dire aussi, j’le critique bien l’autre glandu qui m’sert de coloc, de père enfin je sais pas trop, mais j’lui dois quand-même beaucoup. Sans lui j’serais surement crevé à c’t’heure. J’en sais rien. J’crois qu’on a pas le droits d’nous taper sur la gueule ici, j’sais pas, pas t’en qu’on a pas dix-huit ballets. A croire que le pauvre con qui nous enferme à un minimum de jugeote. Anyways, ouai, j’parle beaucoup pour ne rien dire. Ca fait partie d’mes défauts j’pense. Mais bon, des fois j’dis pas que de la merde et avoir une grande gueule ça m’aide pas mal. Comme tu peux le remarquer, j’suis pas bien turbulent comme mec et il en fait beaucoup pour m’faire gueuler. J’pète jamais de câble, tu peux m’crier dessus, moi j’m’en fous, j’suis pas sourd, j’vais comprendre sans rien dire. Pas la peine d’en rajouter une couche. J’aime dormir et la musique c’est ma vie. Si y’a bien un truc cool c’quand Silas m’a filé ma gratte. Faut dire, il a grave assuré ce jour-là. Mais bon. Quand faut gueuler, faut gueuler. J’sais pas trop, j’suis un peu trop cool j’pense. Je suis pas un mauvais type. Loin d’là. Moi la seule chose que j’veux c’est aider les autres. Après j’sais pas si j’m’en sors bien, ou pas. Bref, on s’en balance le coquillard de c’que j’raconte. Enfin voilà. Tu veux savoir qui j’suis, moi j’te le dis si t’es pas content c’pareille. Et non, tente pas de me secouer pour que j’sois un peu plus vif, Silas a tenté, c’marche pas. Mais bon, ça c'était avant. On est venu me chercher hier pour me foutre entre les pinces d'un mec. J'pas fort confiance, il me fout la flippe. On m'a dit qu'il était tant pour moi d'apprendre, mais apprendre quoi putain ? L'est où Silas ? J'le sens pas, ça pue cette histoire...
Biographie
Petit rasta est un rebelle de canapé Dans lequel il passe l'essentiel de ses journées A écouter du reggae et à fumer, et à disserter sur la société, Philosophe, philosophe, petit rasta, Le monde peut bien crever c'est pas toi qui bougera, La seule chose que tu fais c'est engraisser un mafioso en achetant ton mauvais marocco
Petit rasta t'es gentil, t'es mignon mais quand tu m'as taxé une clope Moi je t'ai dis non Alors petit rasta, t'es contrarié et m'as traité de bourgeois parce que j'étais bien sapé, Tu sais la classe c'est pas une question de fric, Regarde nos cousins, en Afrique, Faut pas jouer au pauvre quand on a d'la monnaie, Simple question de décence, de respect, Mais petit rasta rappelle-toi que tu es né du bon coté de la pauvreté, Mais petit rasta souviens-toi d'où tu viens, on a toujours eu le ventre plein Ma vie mon histoire. Je n'vois pas trop par où commencer à vrai dire. Ca peut se faire rapidement en trente lignes, ou s'allonger sur quinze-mille pages. Ma vie elle est banale t'sais. Franchement, y'a pas grand-chose à dire dessus. J'suis né à Londres, le 16 mars. Ma mère était une vielle cammée. Une nana sortie tout droit d'un film de Tarantino un peu. Enfin j'te laisse imaginer le bad. Une vielle gonzesse toute squelettique. Elle passait sa vie entre les rues les plus craignos de la ville et les bars à cammés. Moi j'étais rien, pas grand-chose. J'suis né, comme ça, comme un chien fou sa merde dans l'hosto le plus pourris qu'elle a trouvé. J'ai fini à la DDASS. Forcément, t'peux penser que j'suis un pauvre gamin, franchement, je n'suis pas à plaindre. Au moins j'ai connu le confort d'un bon paddock et la chaleur d'une bonne chaumière. La bonne bouffe. Là-bas c'était pas plus mal. En fait, j'étais bien. J'avais personne pour m'faire chier. J'restais dans mon coin, tranquille. J'étais pas le plus turbulent, loin de là. J'pense que j'sais pas ce que c'est la turbulence. Je plane H 24 depuis que j'suis né. A savoir, qui sait, peut-être que ma génitrice m'a pondu avec de la drogue dans le sang. J'étais peut-être bien destiné à finir cammé jusqu'à la moelle, un peu comme elle. J'en sais rien, j'ai pas envie de le savoir. Bref passons. J'suis né et j'ai fini par être adopté par une famille bien cool. J'avais tout juste six ans. Une famille un peu friquée du genre très ricains, avec une belle maison un portail blanc et un chien. T'vois bien le portrait de famille. C'était exactement ça. Moi j'suis arrivé la dedans avec mes cheveux trop longs, mes vielles fringues pourris et mon haleine de chacal. Les deux gosses m'avaient regardé un peu bizarrement. J'avais l'impression d'être sortie tout droit d'un film d'Hitchcock, un peu version psychose. J'en rigole mais c'était pas cool. Quand j'étais gamin j'le prenais mal. Enfin bref, j'suis allé à l'école comme tout bon gamin qui se respecte, uniforme, cartable en cuir et chapeau melon. Cliché, mais limite ça quand j'y repense. Enfin tu vois le tableau. Moi, ça me faisait déjà chier tout ça. J'suis pas vraiment genre à prendre soin de moi, alors toutes ces conneries, ces artifices, j'ai jamais vraiment aimé ça. A la DDASS on n'avait pas tout ça, c'était nouveaux. Ca m'faisait flipper j'pense. Quand j'ai posé le premier pied dans cette école ma réaction fut simple, un espèce de « Crap » était sortie tout droit d'ma bouche. Oui je sais, grossier pour un môme de six ans. Mais bon, j'savais à peine parler moi. Mon vocabulaire franchement il était vachement restreint. Ca ressemblait à du genre « bonjour, merci, au revoir, vous allez bien ». Enfin ça c'était les formules polies. Mais quand j'suis rentré dans cette école et que l'instit' m'a demandé de me présenter j'ai regardé tout le monde et j'ai balancé un « 'lut, Stac'. M'dame je crois que j'ai la gerbe... » Oui le stress, ça me donne la gerbe. Vas savoir pourquoi... Enfin j'suis bien passé pour un K-sos quand même dans cette école de branlots. J'ai pas fait long feu. Le seul domaine dans lequel j'me faisais plaisir c'était la musique. L'instit' l'avait d'ailleurs dit à ma famille d'accueil. Comment elle disait ça... Stacey, c'est un artiste dans l'âme... Un truc dans le genre. Moi j'comprenais rien. Y 'avait un piano chez mon pseudo chez moi. La première fois que j'ai joué j'ai bien tripé. Les notes sortaient d'une manière naturelle. J'pensais que tout le monde pouvait faire d'la musique, que c'était un truc super simple. J'aimais bien m'enfermer dans le bureau du pseudo patère. Il avait une belle platine à l'ancienne avec des vinyles de vieux groupes genre Led Zepplin, Janis Joplin, the Beattles. Bref, j'trouvais ça vachement cool. Quand j'ai eu dix ans on m'offrit ma première gratte acoustique. J'aime bien, j'me la jouais à la Jimmy Hendrix, version Voodoo child, tu vois le délire. Moi j'prenais grave mon pied. C'était trop cool. J'adore cette chanson, je m'en lasse pas. J'passais mes journées entre bahut et ma piaule pour gratter, passant mes vieux vinyles en boucle. La belle époque quand même. J'ressortais les vieux films sur les hippies, ces types, mais merde, la grande classe. Pas de prise de tête, pas de problèmes. Le pied total. Moi j'avais beau être né d'une mère à problèmes, j'avais tendance à tous les éviter. Tous. J'aimais pas ça. Même si j'étais considéré comme le premier des branleurs, bah je ne les attiraient pas quand même. Enfin j'évitais. A onze piges, on m'envoya à River Crow en Irlande, dans une école de musique très réputée. Enfin maintenant je me dit que c'était surtout pour se débarrasser de moi tu vois. J'pense que j'réalisais pas la chance que j'avais à l'époque. Moi ça me faisais chier. Je devais apprendre le solfège et toutes ces conneries. J'me demandais bien à quoi ça pouvait me servir. Hendrix n'en avait jamais fait. Et je m'demande même si Bob Marley savait ce qu'était un La et un Mi. Le classique. J'pense sérieusement que c'est la musique la plus chiante que j'ai jamais entendu tiens donc. C'est vrai, le classique, sans déc' mec, Mozart il était bourré de tallent, mais voilà, il a fait son temps, faut passer à autre chose. Bon OK, j'avoue, c'est l'hosto qui se fous d'la gueule du clodo, mais quand même. Enfin tout ça pour dire que j'ai fini là-dedans. J'ai rencontré trois mecs super cool dans leurs genre. Billy, Rupert et Nicolas. Ils étaient super cool. On a fini par monter un groupe. J'sais pas comment, mais je les ai fait rentrer dans mon monde, comme ça. On faisait revivre les années soixante-dix à nous quatre. C'était franchement fendard. J'les aimais bien ces mecs moi. Au bahut, on était plutôt vu comme des Dieux. Si on veut. Disons qu'on nous respectait pour notre connerie presque inhumaine. On faisait que ça presque. Moi j'adorais ça. On allait dans les super-marchés, on faisait des courses de cadis, bref des trucs de jeunes, rien de grave. Je fus quand même arrêté pour vole à l'étalage une fois. J'avais rien pris de grave. Juste un paquet de clope. J'avais pas un flèche. Non mais c'est vrai, y' a pas d'quoi déprimer un canard juste pour ça... P'tain les joies de l'adolescence. J'vous jure. Trop bon. On en a fait un sacré paquet de conneries. A douze ans j'fumais ma première clope. J'ai cru que j'allais crever sur place. C'est pas pour autant que je l'ai pas refait. Nan, mais attends. Tu sais, franchement, on crève tous un jour. Alors, autant en profiter non ? La vie est trop courte pour s'faire chier à respecter les règles. Et puis il y a eu ce jour-là. Ouai j’saurais pas trop comment l’expliquer, c’compliqué franchement. Je sais pas comment j’me suis retrouvé là. La seule chose dont je me rappelle c’est une rue un peu sombre, moi en train de jouer d’la gratte sur le trottoir, une clope au bec ne demandant rien à personne. A douze piges on va surement te demander ce que fait un gosse de cet âge là seul, dehors en pleine nuit. Mais bon, comme c’est moi tu vois y’avait pas de malaise, je le faisais souvent. Mais j’me souviens juste d’un truc sur la bouche, un tissus qui puait, ça piquait la gorge un truc de fou. Et j’me suis réveillé dans c’te baraque. Au départ j’ai passé deux semaines dans une chambre tout seul. J’avais personne pour me faire chier. On venait me donner à bouffer tous les jours, j’me sentais un peu seul, mais j’me disait qu’on finirait bien par me rechercher. Tu parles, bullshit ! Quand je regardais par la fenêtre la ville semblait pas inquiète du tout. Mais j’pouvais rien faire. Les fenêtres sont condamnées ici et quand t’es pas mort vivant t’as pas le droit de sortir. Anyways, au bout de deux semaine c’est Silas qu’est venu me chercher. Au début c’était cool, j’savais pas trop à qui j’avais à faire et j’me disais qu’il avait l’air cool. Puis petit à petit j’ai commencé à comprendre. J’étais plus rien, un jouet ou un truc dans le genre. J’ai fini par me recroqueviller sur moi-même, j’voulais plus rien. Des fois il était cool, d’autre beaucoup moins. C’était ou tout blanc ou tout noir avec lui, le gris il connaissait pas. Du coup j’ai arrêté d’sourire et j’restais là, sans rien dire. Et puis un jour, le jour d’mes treize piges exactement il est v’nue avec une gratte. J’me suis dit qu’il voulait m’acheter. Mais c’est à c’moment que j’ai enfin compris où j’étais. Et oui, six mois c’est le temps qui m’a fallut pour comprendre qu’ici c’était l’enfer. J’sortais pas d’ma piaule mec, comment j’aurais pu le deviner ? J’ai flippé moi. J’l’ai vu boire c’truc rouge dans un vieux verre. J’pensais que c’était du vin, alors, j’me suis dit « chouette de l’alcool ! » Du coup cul sec mon frère. Sauf que j’ai tout dégueulé sur le planché. J’peux encore sentir le goût métallique dans ma bouche. Du coup il m’a expliqué. C’pas humain comme vie. Autant t’dire que là j’avais plus du tout envie de sortir. J’restais dans ma chambre, le soir il sortait et moi j’faisais d’la gratte. Un soir McGuiness lui-même est v’nue me chercher. Il voulait écouter de la bonne musique… Bah j’ai pas dit non, mais c’est à partir de ce moment là, quand j’ai vu la tête des mecs que j’me suis dit que non, j’finirais pas comme eux. Il fallait que j’bouge. Du coup j’ai joué pour l’seigneur et depuis j’me bas pour une cause qui est certes, inutiles, mais au moins les pauvres gars qui sont dans mon cas je leur donne de l’espoir et ça c’pas négligeable. Alors oui, certes, j’parais pour un con, on m’prends pas au sérieux, mais qu’ils aillent se faire foutre avec leurs sentiments à la con. Moi j’les emmerde. Silas là-dedans ? J’me dis que c’est d’sa faute si j’suis là. J’sais pas pourquoi, il a rien fait le pauvre, et depuis qu’on a presque le même âge ( je dis bien presque il à quand-même 25 berges ou un truc dans l’genre.) bah il a changé. J’crois qu’il se sent seul. Des fois c’est grosse partie d’rigolade, d’autre fois j’le hais. J’sais pas quoi penser d’lui. Mais j’sais pas. J’l’aime bien au fond, c’comme un ami pour moi… P’t’être même un frère. Si j’suis encore en vie c’est surement grâce à lui… Enfin quoi qu’il en soit ça fait déjà six ans que j’suis là. Mais j’perds pas espoir. Tant que j’respire j’vais continuais à m’battre. J’suis peut-être qu’un gosse pour eux et là moitié d’ce maison. Mais j’dis merde. Basta… Silas prend pas parti, il me laisse faire, on est cool. Puis j’me dis, si on m’ouche, il prendra peut-être ma défense qui sait… Enfin ça c'est ce que je croyais. Hier on est v'nue me chercher comme une merde, en m'disant qu'il était temps pour moi d'apprendre et de me faire éduquer. Je voulais rester avec Silas moi, mais on ne lui à même pas demandé son avis, et il a rien fait le con. On m'a dit que j'allais revenir à un gars du nom de Zadist. Mais ça pue tout ça, j'ai pas confiance. En m'a emmené dans ses appartements, et j'ai pas le choix que de l'attendre comme un connard. J'ai la flippe merde... Mais comme jamais.
Dernières petites précisions Ce personnage est-il un PV ? (si oui de qui): Non Avez-vous des liens avec d'autres personnages ? : ♠ Zadist W.Keenagan : Mon putain d'instructeur. Un malade. J'le déteste, il me fait terriblement peur, j'suis complétement soumis avec lui. Il est ma destruction. ♠ Kurt McGrath : Mon frère. On a la même mère. Je ne le connais pas encore, j'ignore même qu'il existe, mais il viendra me chercher je le sais. (PV) Comment avez-vous découvert le forum ? : J'en ai entendu parler. Vos impressions : C'est cool dans le coin, enfin façon de parler. Votre taux de présence :Régulière. Code règlement : |
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