Aelita C. Blackrose ♠ Esclave ♠ Propriété de Léandre Messages : 1095
Points RP : 78
Localisation : Le Manoir
Date d'inscription : 07/09/2014
|
| | De la main de Aelita C. Blackrose signé le Dim 7 Sep - 23:41 | PRESENTATION BLACKROSE C. AELITA Feat Nicolas Peltz
♠ Race : Humaine ♠ Nom : BLACKROSE ♠ Prénom : Aelita Candice ♠ Âge : 18 ans ♠ Origines : Anglaise ♠ Groupe : Condamnée ♠ Métier / Rang : Nouvelle venue ♠ Avatar : Artiste : Nicolas Peltz - Photographe : Steve Ladner - Kit : Aelita C. Blackrose ♠ Désirez-vous être parrainé? OUI [ ] NON [X] | |
Psychologie
C'est un véritable vif-argent qu'Aelita qui possède l'art et la manière de passer d'un état émotionnel à un autre en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire ! Hypersensible et particulièrement féminine, elle est un mélange de femme-enfant, charmante, sensible et douce ; et de maîtresse femme, conquérante, séductrice et entreprenante... une sacrée personnalité qui oscille entre timidité, effacement, dépendance, soumission et leur contraire. Il est vrai que bien-être et équilibre affectif lui sont nécessaires pour développer son assurance. Ainsi pourra-t-on la voir tour à tour réservée et timide, intériorisée, ravie de passer inaperçue, puis pétillante, espiègle, enchantée d'être sur le devant de la scène et même effrontée, selon que l'ambiance dans laquelle elle se trouve est affective ou non... Elle oscille entre des phases d'hésitation et d'autres où elle est capable de tenter le tout pour le tout. C'est une affective qui a un grand sens de l'amitié, et montre des qualités certaines d'écoute, de finesse, et de psychologie certaines, ayant à la fois un sens aigu des détails et un intérêt pour ce qui est intimiste. L'humour est l'une de ses caractéristiques, et s'en sert souvent, tout autant pour sauver la face lorsqu'elle est dans ses phases à haute nerveuse que pour plaire ou encore faire un bon jeu de mots. Extravertie, elle aime communiquer, plaire, séduire et possède un charme fou. Elle rêve d'être le point de mire d'une assemblée ou d'un public qu'elle sait animer par sa présence et ses facultés d'expression. Tout en ayant besoin d'une sécurisation affective, elle déteste la monotonie et apprécie l'aventure et les nouveautés. Enfin, la vie est un peu un jeu pour elle, aussi possède-t-elle un côté ludique. Sentimentalement, c'est une femme agréable et de bonne humeur qui met de l'ambiance dans une maison, une hôtesse remarquable et remarquée. Certes, elle est séduisante, mais ne vous y fiez pas messieurs, à son sourire angélique : au fond c'est une insoumise qui ne se laisse pas si facilement séduire.
Il lui arrive bien d'échouer par les voies les plus accessibles, en gaspillant les chances les plus évidentes, les moyens les plus à sa portée, que triompher par les détours les plus inattendus, les chemins où nul n'aurait osé s'aventurer, où tout autre se serait irrémédiablement égaré. Plus le milieu est vaste, flue, voire inconfortable, plus elle se sent à l'aise. Autrement, dans les cas les plus négatifs, Aelita peut être entraînée, presque malgré elle, (parce qu’elle subit les influences et se prête aux manœuvres tortueuses) dans des imbroglios d'affaires suspectes, plus ou moins légales, de procédés douteux, d'opérations suspectes ou franchement fructueuses... Au reste, elle joue sur une gamme de réactions et de comportements assez variés : tout en s'immergeant dans les eaux troubles d'une glauque insécurité, dans un bizarre mélange d'erreurs, de gaffes, d'à-peu-près et d'opportunisme, elle peut se tirer parfaitement des situations les plus tordues et les plus impossibles - exploitant même les éléments les plus embrouillés, les plus absurdes, en apportant soudain des solutions miraculeuses. N'essayant jamais d'imposer son jugement, d'exercer une quelconque pression sur la volonté d'autrui, on la voit se plier devant l'autorité - par l'esquive ou la dérobade - et laisser aux autres l'entière indépendance de leurs opinions, options et initiatives. Pour atteindre la pleine mesure de son rendement, elle a besoin de se sentir soutenue, comprise, aimée, portée par un courant, une ambiance inconditionnellement favorable, bienveillante, amicale. Si elle n'est pas littéralement "dans le bain", elle étouffe et s'asphyxie. Sa faiblesse est de ne savoir résister aux tentations et sollicitations multiples et contradictoires, de mal se contrôler, de se laisser trop aisément disperser, séduire, emporter par le flot des événements extérieurs ou de sa propre effervescence, avec une confiance exagérée, un peu laxiste, aux circonstances - ou à la providence. Si elle s'agrège spontanément à l'ensemble d'une collectivité ou d'une communauté, elle ne s'accorde pas volontiers aux structures particulières d'un groupe, aux détails d'une équipe, aux impératifs d'organisation, de précision, de délai, de répartition de tâches, des compétences et des spécialisations. Certes, elle accomplit assez docilement ce qu'on lui demande, mais elle demeure étrangère aux méthodes rationnelles, et réfractaire aux carences de la discipline. Plus éprise de pittoresque et de chimère que d'efficacité, plus fantaisiste que ponctuelle, elle évolue dans un fouillis, un fatras, un magma où elle est la seule à se repérer - et, qui peut même dans certains cas lui fournir les bases d'une surprenante méticulosité, véritable chaos à rebours.
La caractéristique principale d'Aelita est sa malléabilité psychique, qui conduit à une très grande plasticité mentale et à une ouverture intellectuelle aux nombreuses disciplines de l'esprit humain. Malheureusement comme elle s'intéresse à tout, elle a tendance à survoler les choses. La véritable "intelligence - Aelita" consiste à embrasser un maximum de systèmes de pensées, à relier les unes aux autres des idées apparemment dénudées de rapport : son intuition lui dévoile les fils ténus qui courent, indispensables, sous l'apparence des choses. Cette faculté, liée à l'imagination, peut aussi conduire à une sorte de génie créatif mais aussi un opportunisme exceptionnel. Mais tout en Aelita n'est pas "abstrait". Elle bénéficie, par exemple, d'un remarquable sens du commerce. Mais lorsqu'elle ne parvient pas à dominer, à canaliser les courants innombrables auxquels son esprit est réceptif, elle devient brouillon, étourdie, nébuleuse. Aelita a besoin d'éprouver ses capacités et d'affermir ses préférences pour telle ou telle discipline. Ce qui n'existe pas son imagination mobilise moins son attention. Elle apprécie peu les faits rigoureux et les leçons normalisantes. Aelita n'ayant pas un tempérament de solitaire, préfère les activités qui s'exercent au sein d'une collectivité ou dans un but humanitaire. Elle aime venir en aide aux autres et se sentir utile au groupe. Ce qui compte avant tout pour elle, c'est de pouvoir s'exprimer, que ce soit par le biais d'une activité artisanale ou artistique, ou de sentir, pour le moins, qu'elle ne végète pas dans l'anonymat complet et que son action change un petit quelque chose dans l'ordre du mode. Morphologie
Aelita est une jeune fille belle et désirable.
Son teint est d'une fraîcheur éclatante et ses cheveux châtains tombent en cascades lumineuses dans son dos, comme si la jeune fille sortait du bain, encadrant un visage rond et harmonieux, éclairé d'un sourire triste. L'une de ses mèches est quant à elle d'un roux flamboyant. A l'opposé des blondes sophistiquées et stéréotypées qui font fantasmer les jeunes hommes, elle incarne une beauté naturelle et authentique, rayonnant d'aisance et d'énergie. Il flotte dans son sillage une subtile odeur de vanille musquée. D'ordinaire, ses yeux exemple remplis d'étrangeté ; l'un vert prairie, l'autre bleu des caraïbes.Ils sont rieurs et remplis d'une joie enfantine. Tous deux reflètent un lourd passé et semblent cacher, par instant, une peine immense. Sa peau pâle se révèle par endroit. Aimant beaucoup avoir les épaules dégagées, la jeune fille porte beaucoup de jupes longues vaporeuses cintrées sous la poitrine.
L'ensemble de son corps créé par moments un contraste avec ça personnalité changeante. Aussi bien peut-elle paraître enfantine dans un corps de femme, que femme dans un corps d'enfant. Aussi Aelita n'a quasiment pas recourt au maquillage, juste un peu de rouge à lèvre et de fard à paupière et la jeune femme semble aussi radieuse que les vampires qui l'entourent. Lorsqu'elle se déplace, sa démarche peut être aussi bien directe, rapide, décidée et ne laissant pas de place pour le batifolage et la rêverie mais lorsque la pression est relâchée, Aelita aime regarder autour d'elle, rêver et explorer les lieux nouveaux. Lorsqu'elle marche, la jeune fille est rapidement vue et peu aiment se la mettre à dos. Ses hanches et ses épaules se balancent au rythme de ses pas entraînant le reste de son corps dans une grâce infinie.
Une marque distincte orne le corps de la jeune fille. Une tâche en forme d'ailes d'ange blanches, se situant dans son dos au niveau de ses omoplates, de part et d'autre de sa colonne vertébrale. Histoire
PROLOGUE On raconte que la magie est à l'origine de notre vie. Que c'est notre berceau à tous ; qu'elle nous a façonné et qu'elle fait partie de nous. Quelqu'un m'a dis un jour que si on restait immobile assez longtemps, on pouvait apercevoir les traces d'une lutte secrète ; opposant les forces de la magie blanche et celle de la magie noire. Et que la survie même de notre monde dépendrait du résultat de ce combat. Si vous n'y croyez pas, regardez de plus près. Et si vous n'y croyez toujours pas, regardez d'encore plus près.UNE ETOILE SUR LA TAMISE~ CHAPITRE 1 ~ C'était une nuit d'hiver. La neige avait recouvert le sol de son manteau blanc et la poudreuse étincelait sous la lumière douce et mystérieuse de la Aelita et des étoiles. Les cheveux roux reflétant la lumière blanche des ampoules de la clinique faisaient ressortir ses petites joues roses et ses yeux bleus. Elle ne pleura pas et fut placée sous surveillance. Aeterna ne put voir sa fille que deux semaines après l’avoir mis au monde. Entre temps elle s’était rétablit de son accouchement et son frère John Buxton était soit-disant revenu d’un voyage au Japon. John grimpa les marches de la clinique vers la maternité où sa sœur, Aeterna, l’attendait avec impatience. Il arriva dans le couloir et n’eut aucun mal à reconnaître la benjamine de la fille grâce à ses cheveux roux ; mais son air angoissé ne lui était pas familier. Il se dirigea vers elle à grand pas assurés et l’interpella en levant la main. Aeterna entendit son appel et se retourna vers lui en essayant tant bien que mal de cacher sa peur. « John, fit-elle, comment vas-tu ? Je suis contente que tu ais pu te libérer pour venir ici. » Elle lui adressa un sourire chaleureux que son frère lui rendit avant de se tourner vers la vitre où, au travers, on voyait une dizaine de nouveaux nés. Il se mordit la lèvre inférieure en apercevant une tignasse rousse flamboyante. Aelita venait d’être rapatrier parmi les autres bébés qui se portaient bien. Aeterna expliqua à John que les médecins avaient regardé Aelita sous toutes les coutures et n’avaient pu en déduire que ça car la petite fille n’avait physiquement rien cependant pour une raison inconnue elle n’avait pas crié une seule fois depuis qu’elle était née. Alors il fut dis qu'Aelita avait subit un soit-disant choc émotionnel lorsque que Aeterna avait accouché d’elle. - Les médecins disent qu’elle pourra sortir dès demain, continua Aeterna. Je suis si contente.Il eut un silence pendant que John regardait autour d’eux comme si il cherchait quelque chose d’important avant de se remettre face à la vitre et de lâcher d’une voix mécontente : - Georges n’est pas là ?Aeterna se tourna vers lui les sourcils froncés et les yeux lançant des éclaires avant de dire d’une voix froide qui n’admettait aucun commentaire et aucune moquerie, juste de la compréhension et de la délicatesse. - Il est en voyage d’affaire pour... Enfin tu sais. Il n’a pas pu venir… Je pense que tu peux le comprendre.John lâcha un sourire en repensant au Noël précédent la naissance de Aelita. Il n’avait pas pu venir car il venait de faire l’acquisition d’un château en Ecosse. Reculé dans les montagnes, la nouvelle de la grossesse de sa sœur et de son invitation à venir pendant les vacances ne lui étaient parvenues qu’en février. Il resta donc à contempler sa filleule et nièce. Il regarda sa montre et dit au revoir avant de partir. TOUT LE MONDE A BORD~ CHAPITRE 2 ~ Les années passèrent. Le monde dans lequel nous vivons laissa place à un véritable chaos. Londres n'était plus que l'ombre d'elle même sous les présidents mondiaux. Ravagée, les rues ne sont plus sûres, les toits s'effondrent, le sol tremble sous la colère de la populace. Une montée de guerres civiles font rage partout sur le globe.« - Aelita ! Par-ici ! » La jeune fille repéra la main de son amie et alla dans sa direction tant bien que mal du au regroupement de personnes présentes. Partout autour d'elle, Aelita ne voyait que des personnes désespérées que la colère avait recouverte de ses bras. Elle arriva enfin auprès de son amie qui regardait devant elle. Un bateau était à quai. Il les mènerait en Irlande. C'était la promesse de rédemption qu'Ellie, Sophia et Rachel attendaient avec impatience. Toutes trois étaient prêtes à monter et attendaient que l'équipe des marins nous en accorde l'autorisation. Aelita lança un regard au bateau puis à l'eau sombre qui s'étendait devant elle. La lumière de la lune et des lumières allogènes n'étaient pas assez puissantes pour éclairer cette vaste étendue d'eau qui s'étalait devant. La Manche sombre et silencieuse semblait cacher un secret dont nous ignorions l'existence. La jeune fille se concentra sur la passerelle qui venait d'être installée par les matelots. Elle agrippa la main de Rachel et ne la lâcha plus. Tous les quatre passèrent le barrage de surveillance qui avait été installé en raison de la présente d'un grand nombre de personnes. Ellie monta sur la passerelle et la parcourut d'un bon pas suivie de Sophia. Toutes deux semblaient soulagée d'être sur bateau qui les conduiraient dans l'un des derniers pays préservé de cette crise mondiale. Rachel avança à son tour entraînant Aelita avec elle. La populace se mit à les suivre dans un grand brouhaha. Arrivée sur le pont principal, Aelita lança un regard derrière elle et vit que les gens s'amassaient en désespoir de cause. Tous voulaient montrer. Tous voulaient échapper à cette crise mais le bateau était trop petit et les personnes trop nombreuses pour pouvoir toutes monter. Un coup de feu retentit faisant sursauter tous le monde et arrachant des cris aux plus peureux. « - Laissez-moi passer ! J'en ai rien à foutre de tout ça ! Je veux monter ! » Un homme braquait la foule autour de lui les faisant reculer afin qu'il puisse avancer vers le navire et y monter. La sécurité allèrent en direction de l'homme qui ne semblait pas très bien. Aelita, accrochée au bastingage, le voyait trembler de toutes parts et ruisseler le long de ses tempes et sa nuque des gouttes de sueur. Apparemment, il n'avait pas eu pour but d'en venir là. Mais l'énergie du désespoir l'y avait certainement mené. Les forces de sécurité encerclèrent l'homme et se rapprochèrent petit à petit de lui. L'inconnu, apeuré et à bout de nerf, leva un peu son arme au dessus de la foule et tira plusieurs coups. Les personnes présentes se baissèrent. Aelita se boucha aussi les oreilles. L'équipe de la sécurité réussi à mettre l'homme à terre et prit son arme. Un cri retentit alors. Aelita se retourna et vit Ellie le teint blême, l'air horrifié. Elle montrait d'une main tremblante une jeune fille allongée à ses pieds. Sophia se tenait le ventre en tremblant. Aelita comprit en un éclair ce qu'il s'était passé. Une balle perdue peu faire des ravages. Il fallait de toutes urgence amenée la blessée à l'hôpital le plus proche, à Dublin. Devant la cohue générale, le bateau démarra. QUE LE SANG ET L'EAU COULENT~ CHAPITRE 3 ~ Le brouillard se leva aussi soudainement que peut éclater un orage. La brume épaisse et blanchâtre recouvrit les flots ne laissant guère de visibilité au batelier. Ce dernier avançait avec prudence. Aelita se tenait au bastingage regardant, impuissante Ellie compresser la plaie de son amie afin de contenir l'hémorragie. Rachel pleurait sans savoir quoi faire d'autre. Le teint pâle, elle s'était laissée glisser sur le sol, regardant avec effroi le sang qui tartinait le pont. Aelita se rapprocha d'Ellie et lui demanda d'une petite voix ce qu'elle pouvait faire pour l'aider. Cette dernière lui demanda de garder Sophia éveillée. La jeune fille donc ce qu'elle pouvait pour que son amie ne tombe pas dans l'inconsciente. Il fallait qu'elle tienne jusqu'à l'hôpital où les médecins pourraient prendre la relève en espérant qu'elle puisse s'en sortir. « - C'est incroyable cette purée. On y voit vraiment rien, se mit à marmonner le batelier en se penchant par-dessus le gouvernail. » Dans sa cabine, il plissa les yeux n'arrivant pas à voir où il allait, n'osant pas allumer les lumières qui pourraient lui mettre un rendu pire que ce qu'il avait déjà. Soudain, sur la vitre, apparut de petite gouttes de pluie. « - Manquait plus que ça... » Il se gratta la tempe. La pluie se mit à tomber drue. Jurant, le matelot tourna de quelque degrés la barre essayant d'y voir plus clair. Il se risqua à allumer l'une des lumières à la proue. Cette dernière éclaira un énorme récif. Les yeux du batelier s'écarquillèrent d'horreur en voyant que le choc était inévitable. La brume l'avait dérouté de son chemin et l'avait précipité sur la falaise. BAM ! Le choc fut violent et plusieurs passagers tombèrent à l'eau. La proue du bateau fut violemment déchiquetée. L'acier vola un peu partout. L'une d'elle trancha net la tête d'un passager qui roula avant de tomber dans les flots. Les cordages du bastingage sautèrent de leur support et vinrent frapper plusieurs personnes de plein fouet, les tuant net. Aelita poussa un cri d'horreur en voyant cela. Elle s'était accrochée à un poteau. Ellie vint pour la rejoindre quand l'une des attaches de l'un des canots de sauvetage vola en éclat et la frappa avec force. Un crac se fit entendre. Aelita toujours en larme se releva au moment où il eut un second choc. Projetée en avant, la jeune fille tomba à l'eau. Elle fut ballottée par le courant. Avec peine, elle remonta à la surface et vit la carcasse du navire tanguer à moitié sur le récif qu'il avait cogné. Elle s'éloigna tant bien que mal du bateau. Luttant contre le courant, Aelita se demanda si son heure avait sonné. Elle se retourna et vit une vague arriver sur elle puis se fut le noir complet. « - Suis-je morte ? » Autres petites Précisions
♠ Avez-vous des liens avec d'autres personnages ? : Heu... ben pas encore ^^ ♠Comment avez-vous découvert le forum ? : Formuactif is my friend ♠ Vos impressions : Trop nouvelle pour donner son impression. Posez-moi la question dans une semaine. ♠Votre taux de présence : Quotidienne (sauf problèmes). ♠Code du règlement :
|
|
Elijiah H. Jazeem ♠ CoFondateur ♠ Représentant Irakien Messages : 9842
Points RP : 325
Localisation : La Fondation
Date d'inscription : 02/11/2013
|
| | De la main de Elijiah H. Jazeem signé le Lun 8 Sep - 9:34 | Bienvenue parmi-nous Aelita, comme dit, si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésites pas à demander =) |
|